Levoeuf François, un Ornais dans le Pays de Caux au XVIII ème siècle

jeudi 4 janvier 2024
par  Francis RENOUT
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(De Sainte Marguerite de Carrouges à Sotteville sur Mer)

Une recherche généalogique ne permet pas toujours d’avoir les réponses aux questions que l’on se pose. Certains ancêtres ont disparu emportant avec eux leur histoire et leurs secrets............

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(Sainte Marguerte de Carrouges dans l’Orne)

Depuis quelques années je recherche en vain pourquoi François Levoeuf a quitté sa région natale de l’Orne pour venir s’établir à Sotteville sur Mer. Cinquante lieues séparent le village de son enfance de Saint Marguerite de Carrouges à Sotteville sur mer ; ce qui demande, à cette époque, plusieurs jours de marche. Quel en était la raison ? Pourtant, ce n’est pas à cause du manque de travail, car le haut fourneau de fonderie établi depuis 1540, par le seigneur du lieu, la famille le Veneur de Tillières, fournissait de l’ouvrage à toute la population des environs. Frère jumeau de Pierre, fils de Laurent Levoeuf et Magdeleine Alexandre, il naît le 16 mars 1747 à Sainte Marguerite de Carrouges, dans l’Orne.

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Nous sommes vers la fin du XVIII ème siècle, au début du règne de Louis XVI. Sotteville sur Mer est réputé pour sa fabrication de rouenneries, une des meilleurs de la contrée, qui occupent 500 métiers à tisser. C’est dans ce village côtier, bordé par la falaise, où se dissimulent les masures, le long de ses cavées tortueuses bordées de fossés, que François, âgé de 26 ans,se marie le 8 février 1774, avec Marie Anne Raine, servante, originaire de Blosseville sur Mer. Les fiançailles furent célébrées le 7 février en l’église de Sotteville sur Mer suivant le consentement de Maître Michel le Pasteur, Sieur de Grandchamp, curé de Sotteville sur Mer et de Jean l’évangéliste Dufresne, pénitent gardien du couvent de Veules les Roses. Le père de l’époux a été représenté pour le consentement du mariage de son fils par Maître Michel le pasteur, curé de Sotteville sur Mer. Cette autorisation a été validé par Laurent Levoeuf, père, le 4 janvier 1774 ainsi que par Maître Thibault, curé de Sainte Marguerite de Carrouges. Aucun membre de la famille Levoeuf n’est présent au mariage. Il faut dire que les déplacements étaient beaucoup plus difficile autrefois. François est domestique et signe son nom « Leveuf ». Depuis son arrivée dans le Pays de Caux son patronyme va s’écrire sans le O. Plusieurs enfants naissent entre 1774 et 1784. Vais-je trouver une piste à mes nombreuses questions au travers des parrains et marraines ?

Le 9 février 1778, naît une fille, Françoise Marie Julie. Le parrain est Tesson Pierre Vincent, prêtre d’Epinneville. Le nom de la marraine m’interpelle ! C’est Demoiselle Françoise Henriette Antoinette De Tonneville Amyot. Elle est âgée de onze ans et signe son nom : « Amiot Detonneville ». Qui est-elle ? Un mystère de plus !

La famille Amyot du Mesnil Gaillard :

Je retrouve cette famille Amyot, originaire de Thil Manneville, habitant à Sotteville sur Mer depuis le milieu du XVIII ème siècle. Leur ancêtre, François Bonaventure, fit enregistrer les armes de sa famille à l’armorial général, établi par l’édit du 20/11/1696 (registre de la généralité de Rouen folio 1078).

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Françoise Henriette Antoinette Amyot est la fille d’Antoine Joseph Thomas et Marie Marguerite Lejeune, née à Lamberville, le 11 avril 1767. Son père est écuyer, Seigneur du Mesnil Gaillard, de tonneville, du verger, et autres lieux, garde des toiles de l’église, tentes et pavillons du Roi et officier de Vénerie du Roi. Elle se marie le 16 novembre 1790, à Sotteville sur Mer, avec Emmanuel Henry Le Piot. Les quatre témoins sont domestiques. Leurs noms me sont inconnus ! On pourrait se poser la question suivante : pourquoi ont-ils demandé à des domestiques d’être témoins ?

Une idée me traverse l’esprit au sujet des domestiques ! Se pourrait-il que François Leveuf et son épouse Marie Anne Raine, alors domestique et servante, en 1774, puissent être employés, au service des parents de Françoise Henriette ? Se sont-ils connus sur leur lieu de travail ?Par contre, au mariage de 1790, François est marchand et ne serait donc plus à leur service ;si toutefois ce fut le cas ! Encore des questions sans réponses !

Où se trouve ce fief du Mesnil Gaillard ? En regardant le cadastre, on voit que celui-ci se situe entre Epineville (connu aujourd’hui sous le nom de Saussemare) et Sotteville sur Mer. C’est actuellement un lieu-dit de Sotteville sur Mer. Depuis quand la famille Amyot détient ce fief et comment ?

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Origines du fief du Mesnil Gaillard à travers les siècles :

C’est le grand-père de Françoise Henriette Antoinette, Joseph Antoine Alexandre Amyot qui en 1747, Après la mort de sa grand-mère maternelle Louise Marie Daniel du Mesnil Gaillard, dernière descendante de la maison Daniel tombée en quenouille et qui est trépassa le 23e jour de mars 1747, hérita des biens et des titres de cette famille. C’est ainsi que les seigneuries du Mesnil Gaillard, du Verger et de Thonneville passèrent dans la maison Amyot. Ses grand-parents Joseph Antoine et Marie Lebourgeois sont décédés respectivement en 1774 et 1761, dans leur manoir ou château du Mesnil Gaillard et inhumés dans l’église du village.

Originaire de la région, je n’ai jamais vu ou entendu parler de manoir ou de château en ce lieu. Apparemment, d’après les propriétaires actuels du lieu que j’ai rencontré récemment, il existait bien un château de dix huit pièces, d’une longueur de 26 mètres sur 8 mètres de large, construit en briques et couvert en ardoise. A l’intérieur on trouvait un solage en grès. Bien exposé au soleil, on pouvait voir la mer en survolant le hameau d’épineville. Lors de la révolution, le château fut incendié et la famille Amyot fut incarcéré à Rouen.

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En ruine, il sera démoli en 1825. Actuellement, d’origine de ce domaine, il reste le mur d’entrée près de la route. Construit en grès, briques et silex, on aperçoit sur une pierre la date de 1579. Dans la cour, dissimulé PNG - 267.6 koderrière un superbe jardin bercé par les embruns, planté d’arbustes, de graminées et de plantes vivaces, se dresse encore quelques murs d’anciennes étables en silex, PNG - 467.9 kooù s’adosse une une auge en grès d’une grande longueur. Sur celle-ci, on y voit encore des crochets qui servaient à attacher le bétail. L’eau du vieux puits sert pour arroser les plantes.

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Concernant la famille Amyot, bien qu’incarcérée, je pense que ces membres ne furent pas inquiétés au moment de la révolution, car on retrouve deux naissances, un décès et un mariage, à Sotteville sur Mer, en 1790 et 1791. Par contre, cette famille habite Rouen à partir de 1795. Est ce que le château fut détruit en 1789 ou entre septembre 1791 et juillet 1795 ? Raoul Hyacinthe Amyot, âgé de 20 ans, garde d’honneur de Napoléon Ier, Garde du Corps de Monsieur le frère du Roi Louis 18 ,Charles X, meurt le 11 décembre 1815, à Rouen.

Au passage, la famille Amyot est portée sur la liste des familles françaises subsistantes dites de noblesse inachevée. Cette expression »Noblesse inachevée » a été inventé en 1932 par Guy Courtin de Neufbourg, un des fondateurs de l’association d’entraide de la noblesse française. Cette famille a été anoblie par charge en 1759.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_familles_fran%C3%A7aises_subsistantes_dites_de_noblesse_inachev%C3%A9e

Joseph Antoine Amyot, son épouse Marie Le Bourgeois et leurs enfants, tous nés à Thil Manneville, s’installèrent donc logiquement en leur manoir du Mesnil Gaillard vers 1747. Mais j’ai un doute, car un de leurs enfants est décédé le 15 septembre 1745, à Sotteville sur Mer. Leur dernière fille, Marie Susanne, est née le 1 mai 1744 au Thil Manneville. Ils se seraient donc installés au château ou manoir entre ces deux dates.

Concernant le fief du verger, celui-ci va du Bourg Dun et s’étend jusqu’à Sotteville sur Mer, Veules les Roses et ses environs ; ceci d’après le registre des fiefs et arrière fiefs du Pays de Caux datant de 1503. A cette date, une certaine Marye, veuve d’ Henry Roger, possède un quart de fief du Verger.

Louise Marie Daniel :

Par curiosité, je continue à rechercher comment le fief du Mesnil Gaillard était en possession de Louise Marie Daniel et quel était l’origine de cette famille ?

Louise Marie est originaire de Sotteville sur Mer où elle est née le 31 août 1669 et décédée le 23 mars 1747. Elle est la fille d’Antoine Daniel, écuyer en 1669, sieur du Mesnil Gaillard, de Tonneville et du Verger, capitaine de marine et d’Adrienne Fortin. Elle se marie le 19 février 1692, à la paroisse Saint Godard, à Rouen, avec un noble étranger, Alexandre Le Danois, originaire du Danemark. Enceinte, elle se retrouve veuve en juin 1692, quatre mois après son mariage. Elle fait remontrer qu’elle était issue de famille noble. N’ayant été mariée que 4 mois, elle ne saurait prouver la noblesse de son époux ne pouvant faire venir les titres d’un pays si éloigné (source 1). Son père décède le 23 mars 1712, en son manoir du Mesnil Gaillard. le 13 septembre, Louise Marie unique héritière reçoit un aveu, à cause des fiefs du Mesnil Gaillard, de Tonneville et du Verger.

Sa fille unique Marie Magdeleine Le Danois est née entre octobre 1692 et février 1693 Sa mère n’ayant voulu consentir à son mariage avec le dit Estienne Joseph Amyot d’Auzouville, fils de François Bonaventure et de Marie Marguerite Deschamps. Celui-ci l’enleva pendant la nuit du château du Mesnil Gaillard et l’emmena au Thil-Manneville où il l’épousa le 7 février 1714. Malheureusement, elle décède à l’âge de 24 ans, le 29 mai 1716, à Thil Manneville, en laissant un fils Joseph Antoine Alexandre né le 3 décembre 1714.

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Biographie de la famille Daniel :

Toujours la même question qui me taraude : à qui appartenait le fief du Mesnil Gaillard ?

Antoine Daniel, père de Louise Marie, est né le 7 décembre 1632, à Dieppe, et fut baptisé à l’église de la paroisse Saint Rémy. Il est le fils du célèbre capitaine de vaisseau dieppois, Charles Daniel.

Charles Daniel est né vers 1592. Il est le fils d’Antoine, bourgeois, marchand mercier et de Marguerite Martin. Il a contribué à l’avancement de la colonisation de la Nouvelle France. Il a donné son nom à la municipalité de Port Daniel Gascons. Capitaine pour le Roy en la Marine et Général de la Flotte de la nouvelle France, il sera anobli en 1648. Après les fatigues de l’expédition, Charles Daniel retourna dans son pays où le rappelaient ses affections et ses intérêts.

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Voyage à la Nouvelle France du capitaine Charles Daniel :

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k424458c.texteImage

Biographie de Charles Daniel :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Daniel

Le 17 janvier 1561, par contrat passé devant Le Frémissant, notaire à Arques, Charles Lemarinier, sieur du Rondier et Jean Lemarinier, sieur d’Auppegard, vendent à Robert Lemercier, bourgeois de Dieppe, deux quarts de fiefs nobles : l’un nommé le fief du Mesnil Gaillard, l’autre le fief de Tonneville, avec leurs dépendances, ensemble le domaine roturier. Par un autre contrat passé devant Martin Planterose, tabellion royal en la ville de Dieppe, Jean Blanpain, sieur de Quiberville, avait vendu à Robert Lemercier deux fiefs nobles : l’un nommé le fief de Houdetot, l’autre nommé le fief du Verger. Charles Daniel, profitant de son séjour dans sa ville natale, connut sans doute par son frère André, le médecin, Jean Lemercier qui exerçait la même profession. Quoiqu’il en soit, le 5 mars 1644, par contrat devant Nicolas Allain, notaire à Dieppe, il cédait à Jean Lemercier, sieur du Mesnil-Gaillard, les héritages au Bosc-Hullin apportés par sa femme lors de leur mariage, en 1632, et recevait en échange les fiefs du Verger, de Tonneville et du Mesnil Gaillard.

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Ces informations permettent de désigner les propriétaires successifs des terres du Mesnil Gaillard jusqu’en 1561.

Un inventaire après décès porte la date du 13 mai 1661. Charles Daniel mourut au début de l’année1661, après avoir fréquenté pendant une dizaine d’années les eaux canadiennes et servi pendant près de 40 ans dans la marine. Sa descendance s’est perpétuée par sa petite-fille Louise Marie.

La première réponse à mes questions :

C’est par hasard, en persévérant dans mes recherches, que je retrouve enfin une partie de l’histoire de François Leveuf. En recherchant des informations sur une autre famille de Sotteville sur Mer, je fus intrigué de voir que certains actes de naissances concernant le hameau du Mesnil Gaillard, ont été établis à la mairie de Saint Aubin sur mer ? Ce hameau faisant logiquement parti du village de Sotteville sur Mer ! En regardant de plus près sur les plans du cadastre, on s’aperçoit que ce hameau est mentionné comme faisant parti de l’une ou l’autre des communes. Ses quelques habitants ont été enregistrés sur les recensements des deux villages jusqu’aux années 1936 ; mais sans aucun nom en commun entre les deux villages. Comment cela est-il possible ? Avant les plans napoléoniens datés entre 1809 et 1830, les actes de baptêmes, mariages ou décès du hameau du Mesnil Gaillard, étaient enregistrés sur les registres paroissiaux de Sotteville sur Mer ; dont ceux de la famille Amyot.

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C’est en approfondissant mes recherches sur cette famille, que j’ai retrouvé une mention très intéressante sur le décès d’Antoine Augustin Amyot, nouveau né, âgé de cinq mois, le 16 février 1781. Il est le fils de messire Antoine Joseph Thomas Amyot et de noble Dame Marie Marthe Lamy. Sur l’acte d’inhumation, on mentionne deux témoins : Louis Lefevre et François Leveuf. Tous deux sont les domestiques du seigneur du lieu.

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Maintenant on sait où et chez qui travaillait François Levoeuf ; par contre, on ne connaît toujours pas la raison de sa venue dans le pays de Caux, si loin de sa région d’origine ?

Sur les recensements de 1841 et 1851, son dernier fils Jacques Etienne, est cultivateur et domicilié avec sa femme Marie Rose Langevin, au hameau du Mesnil Gaillard.

Début d’une autre piste :

Suite à une observation de Martine Hautot, on retrouve sur l’acte de mariage de François Levoeuf et Marie Anne Raine, en 1774, à Sotteville sur Mer, un personnage originaire de Sainte Marguerite de Carrouges, dans l’Orne. On note la présence des témoins suivants : Jacques Lecointre, domestique, de Lamberville ;Jean l’évangéliste Du Fresne, gardien du couvent de Veules les Roses et Michel le Pasteur, sieur de Grandchamps, curé de Sotteville sur Mer. Ce dernier, originaire de l’Orne, représentait Laurent Levoeuf, père de François.

En recherchant des informations sur Michel le Pasteur, je retrouve qu’il est mentionné dans un inventaire en 1769. On précise qu’il est curé de Sotteville sur Mer. On trouve sa première signature sur les registres paroissiaux de ce village, à partir du 25 janvier 1763. Après seize ans comme curé dans ce village côtier du Pays de Caux, il fut nommé à Vimarcé, dans la Mayenne, situé à 56 lieues. Sa dernière signature date du 5 octobre 1779.

Dix sept jours plus tard, le 22 octobre 1779, Michel le Pasteur signe son premier acte à la paroisse Saint Jean, de Vimarcé. Puis, plus rien à partir du 29 mars 1780 !Continuant de lire le registre, je trouve son acte d’inhumation en date du 8 mai 1780. Il est décédé de la veille, à l’âge de 46 ans. Parmi les nombreux témoins, il y a plusieurs prêtres, Jacques Alexandre François Le Pasteur, son père ; Françios Jérosme, Charles Louis et Jacques Alexandre François, ses frères ; qui, se retirent sans signés l’acte d’inhumation. Ces derniers sont domiciliés à Carrouges, paroisse de Boussée, dans l’Orne. Je suppose que c’est Boucé situé à quelques kms de Carrouges.

Par ailleurs, on retrouve en 1784, le témoignage du curé de Vimarcé, concernant un litige suite au décès de Michel Le Pasteur.Ce litige date entre le 3 octobre 1780 et le 10 février 1781.Par la suite, le 17 août 1786, on note sur un arrêt du parlement, qui reçoit les héritiers, que Michel Le Pasteur avait perçu des revenus concernant des réparations.

Michel Le Pasteur était donc le fils de Jacques Alexandre François Le Pasteur et de Marie Madeleine Poulain. Ils étaient originaires de Sainte Marguerite de Carrouges comme François Levoeuf.

Ont-ils fait le voyage ensemble pour venir dans le Pays de Caux ? Quels liens entretenaient-ils à l’époque ? Michel Le Pasteur était alors âgé de 30 ans en 1763 ;quand à François Levoeuf, il n’avait que 16 ans. Rien n’est sur, mais on peut le supposer.

De son union avec Marie Anne Raine, le 8 février 1774, le couple aura huit enfants (5 fils et trois filles), entre 1774 et 1784. Il sera domestique entre 1776 et 1781, marchand entre 1783 et 1798, puis cultivateur entre 1798 et 1820. D’autre part, on apprend sur le passeport révolutionnaire établi à Veules les Roses, le 6 juillet 1798, que François est âgé de 50 ans et qu’il est marchand. Concernant sa personne, il a une taille 5 pieds 2 p, cheveux et sourcils châtains mêlés, yeux gris, nez gros, bouche ordinaire, menton rond, front haut, visage ovale, inscrit n° 338 (cote L5037)

Une recherche généalogique est une quête fascinante qui permet de découvrir nos racines et de mieux comprendre l’histoire de nos ancêtres. Derrière des dates et des lieux se cachent des vies et des histoires qui ne demandent qu’à surgir du passé.

Francis.Renout
(Administrateur cgpcsm)
fc,renout@free,fr

Sources :
Propriétaires actuels : Michèle et Patrice Delaunay Laurent que je remercie de m’avoir reçu.(informations sur le château du Mesnil Gaillard)
https://www.promessedefleurs.com/conseil-plantes-jardin/blog/jardin-mesnil-gaillard

Marie Louis Auguste Amyot du Mesnil Gaillard (1882)
Nobiliaire universel (Paris 1854)
Archives départementales de Seine Maritimes (voir 242 J fonds du Mesnil Gaillard établi par Vincent Maroteaux)
Registre des fiefs et arrières fiefs du Pays de Caux (1503)
Images concernant Charles Daniel :Le blogue de Guy Perron (la vie de nos ancêtres à travers les documents d’archives-expédition du navire « le grand saint andré » pour le Canada en 1629)
Archives départementales de l’Orne
Généanet (Registres de placets d’audience-inventaire sommaire série B-AD Sarthe-1786)
Généanet (registre des qualités de sentence de l’élection d’Arques -1769/1787)

(1) Voyage à la Nouvelle-France du capitaine Charles Daniel, de Dieppe, 1629 / précédé d’une introduction et suivi d’appendices et de notes, par J. Félix
(2) voyage du capitaine Charles Daniel de Dieppe-1629- société des bibliophiles normands


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